dimanche 27 août 2017

A blaze of light

Et dans cet après-midi idyllique, voilà mon beau-frère qui pousse le moteur à fond. J'ai une peur bleue des possibilités inconnues de cette création maritime et l'avant du bateau tape sur l'eau et fusionne nos colonnes vertébrales pour ne rester qu'une seule vertèbre !...

Je le vois bien... mon beau-frère prend un malin plaisir à nous stresser... Je n'aime pas sacrer mais là... là... poussée à bout... je pousse un de ces CÂÂÂÂÂLIIIIIISSSSSSEEEEE !!!  bien québécois (dont plusieurs « méritent bien plus que moi le surnom méxicain et pas très glorieux de « Tabarnacos »... ) qui stupéfait tout le monde !...

Le moteur ralentit dans le temps de le dire !

Dommage car sur le film de mon souvenir de ce magnifique après-midi, une ligne infinitésimale s'est inscrite... comme une rayure sur un disque...

Que voulez-vous... personne de parfait...

Qui me rappelle, désolée, ce couplet de l'Alléluia  de Leonard Cohen :

You say I took the name in vane,
I don't even know the name
But if, well, what's up to you.
There's a blaze of light in every word
It doesn't matter which you heard,
The Holly, or the broken,
Alleluhia !...



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