Bref, l’enfant prodigue. Celui qui était perdu (tiens, comme celui de mon livre L'armoire aux menteries), et qui revient vers son père, contrit d’avoir dilapidé son héritage et sa vie. Celui-ci l’accueille à bras ouverts. Je pense à quelqu’un… Combien de familles sont touchées ainsi. Et je suis convaincue qu’elles cuiraient le veau gras… (ou le concombre gras pour un végétarien… Sélection du Reader’s Digest) si l’un des 30 000 itinérants de Montréal de leur parenté revenait vers eux… Mais nous errons, peut-être chacun à notre façon... C’est la parabole par excellence du pardon, de l’amour inconditionnel.
Père Je-sais-plus-qui souligne qu’il y a plusieurs sortes pardons…
des pardons qui attendent en retour ou qui n’oublient pas… des pardons aimants.
Et que la miséricorde nous mène à l’action… à sortir de notre zone de confort,
de notre petit monde confortable et de la zapette de télé, pour aller vers les autres. La Bible est
remplie de « verbes », de mots d’action.
Il ajoute aussi « la Parole est vivante ». On entend ça souvent à la messe. Une gentille dame dans l'autobus me l'avait glissé lors d'une discussion. Elle y lisait le Nouveau Testament avec ce qui semblait être son conjoint, un homme noir sorti du même moule... dans leur petit monde à eux.
La Parole est vivante. Elle prend sens dans notre vie, au moment où on l'entend, où on la lit... elle fait écho jusqu’à nous, jusqu'à moi, aujourd’hui.
La Parole est vivante. Elle prend sens dans notre vie, au moment où on l'entend, où on la lit... elle fait écho jusqu’à nous, jusqu'à moi, aujourd’hui.
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