C'est un gros contrat que voilà, lire la Bible, la messe, le jeûne, la confession, le chapelet. Mais je comprends l'essentiel.
D'abord, je ne suis pas carriériste... autant en matière de spiritualité que dans mon domaine professionnel. Alors je n'aspire pas à la sainteté.
Notre retraite se passe dans un lieu dont la patronne est une stigmatisée, c'est à dire une sainte. Elle a reçu des grâces mais surtout une condition de martyre : les trous dans les pieds, les mains, le côté et même ceux des épines sur le front, atrocités supportées par Jésus lorsqu'il a été crucifié. Ça revient mystérieusement sur le corps de grands mystiques catholiques tel que Padre Pio. Toutes les pièces ont une photo de cette jeune française aujourd'hui décédée. On peut lire dans son regard qui se voila avec les années, la simplicité, la pureté, la profondeur tragique de cette responsabilité.
Je souris lorsque ma complice de cette fin de semaine m'informe qu'elle lui a « tourné le portrait » ainsi qu'à la photo du suaire de Turin. C'est trop pour elle.
Le « message » de la messe m'interpelle tout de même. Voici pourquoi.
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