Quelques heures après l'évacuation du dernier groupe de jeunes, la pompe principale a lâché. L'eau a monté à tel point que les sauveteurs qui ramassaient leur stock ont eut à peine le temps de sortir...
Ce qui est fascinant dans cette histoire, c'est le timing. La pompe aurait lâché avant que l'histoire aurait tourné (encore) au drame. Elle aurait aussi pu ne jamais lâcher. Mais ce moment était comme « choisi » pour démontrer toute la fragilité du moment. Pour apprécier encore plus l'ensemble de l'œuvre et la « protection accordée ».
Je me rappelle cette anecdote me concernant. J'ai emprunté un jour une route pour me rendre en Estrie, un vendredi après-midi. Tout s'est bien déroulé. Mais le lundi suivant, chez ma coiffeuse, je lis le journal posé sur une table. Au moment précis où je passais sous un viaduc, quelques minutes plus tard, un morceaux de béton est tombé sur une voiture... C'était déjà quelque chose d'y avoir échappé. Mais encore plus étonnant qu'on « me l'ait fait savoir » ce dont j'étais passée tout près.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire