J'ai revu le gentil jeune homme du métro. Je lui ai dit en souriant : « Finalement, ça a marché le 3 minutes! ». Il me répond pareillement : « Ha c'est vous ! ». Mais, il embarque sur l'autre quai. Donc le retard de mon train retarde le sien.
Il me dit : « Le malheur des uns fait le bonheur des autres... ». Je n'ai pas compris qu'il me dise cela. D'ailleurs c'est lui qui avait fait « la prière ». J'ai trouvé dommage car je ne souhaite pas vivre sur la misère des autres. Seulement sur ma part de bonheur...
J'ai réfléchis sur cette phrase et en suis arrivée à la conclusion que nos souhaits nous arrange. Il faut donc faire attention à ce que l'on souhaite car comme dit l'adage : « Ça risque de se réaliser! ». Et, que le mieux pour tous, est que tout rentre dans le courant normal des choses.
Dans ce cas-ci, son train et le mien à l'heure. Autrement on s'adapte, dépendant l'heure où on débarque sur le quai. En lâchant prise sur tout arrêt imprévu du métro, ou sur les aléas du train. C'est ce que j'appel la « foi du marin » qui ne sait d'où viendra le vent, ni comment sera la vague...
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