Il arrive que le train soit en retard. Parfois de 4 ou 5 minutes. Il arrive surtout que j'arrive juste après celui de ... et 28 minutes... et que j'attende le prochain de -1/4.
La foi. La foi du petit miracle. De celui qui arrive lorsqu'on ne l'attend plus. Voilà encore le message que j'entends pour activer ma petite flamme parfois vacillante du petit miracle pour la réussite de mes projets.
Comme cette synchro impossible aussi où, le lendemain matin, en mettant de l'ordre dans des livres, je tombe pile sur mon livre Einstein en 3 minutes.
Il y a des situations qui nous dépassent. C'est « plus grand que nous ». C'est différent de la réalité habituelle et ça ne s'explique pas. En tout cas pas maintenant.
Mon activité de Noël du bureau a justement débloqué hier... in extremis. La coordination d'un tel événement, bien que modeste, demande une synchro de tous, du lancement de la promotion, aux activités de financement. Mine de rien, on est redevable aux fournisseurs d'équipements, de locaux et de nourriture. On ne pouvait retarder plus longtemps. Alors y croire jusqu'à la dernière minute...
« À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire » parait-il.
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