Il est une chose pour laquelle les robots ou les cellulaires de ce monde ne remplaceront jamais un être humain... un bon gros câlin réconfortant.
C'est rempli d'énergie d'amour et de tendresse.
Même cette fois où, un matin en sortant du métro, y a un de ces êtres « spécial » de Montréal, qui m'en a fait un... le genre de personne qu'on dirait un peu « dérangé » de distribuer gratuitement aux passants, un câlin... J'en avais tant besoin...
Cette fois-ci, mes câlins bras grands ouverts entourent un à un, Jack et sa blonde,si amaigris tous deux, dans mes bras... et si reconnaissants. On les reconduit à la chambre de Jack... puis, à leur tour, comme les gars « saoûls qui ne se laissent plus, ils nous reconduisent jusqu'à la voiture ou presque; la chaise roulante s'étant arrêtée au bout du stationnement pour ne pas débouler la petite pente.
C'est dur de laisser ces gens qu'on aime se débrouiller tout seuls dans ce nouvel univers. Seuls ? Enfin,... je ne crois pas. Pour peu qu'ils se tournent vers Dieu... c'est le petit rayon de soleil que j'ai tenté de leur apporter... mais ça... ça leur appartient.
C'est leur bout d'apprentissage... et nous on retourne vers les nôtres.
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