Je lis présentement deux livres de front. Deux autobiographies magnifiques : Le long chemin vers la liberté, de Nelson Mandela et Aussi vrai qu'il y a du soleil, de Claude Saint-Jean.
Le premier a combattu le racisme de l'apartheid en Afrique du sud, le second, la terrible maladie de l'ataxie de Fredereich. Mais il a surtout donné une voix au milliers de personnes devenues handicapées par cette maladie. Les deux auteurs ont surtout durement lutté contre les préjugés et l'intolérance.
J'ai acheté le premier livre il y a plusieurs mois notamment pour découvrir comment Nelson Mandela a réussi à changer les mentalités de son pays et aussi à tenir le coup pendant 27 ans comme prisonnier politique.
Le second livre provient d'une petite boîte à livres laissés gratuitement à la disposition des gens devant un centre communautaire. Cousine m'y avait invitée pour réaliser une journée « spécial Iles-de-la-Madeleine ». Après un avant-midi bien rempli et rigolo à imiter le bébé phoque et à manger des galettes au sucre et à la m'nasse de tante-marraine, je me prépare à repartir... mais ma batterie d'auto est à plat. Ça vous coupe un party ça !... En attendant la dépanneuse, je passe le temps à lire ce bijou dont je reparlerai. Comme quoi y a du bon dans tout.
Et tout juste ce matin, à la messe de la Fête à Saint-Joseph, patron des familles, on lit ceci aux prières universelles : « Seigneur nous te prions pour les femmes et les hommes qui font tomber les murs des tabous et des préjugés par leur façon d'accueillir les mal-aimés de notre société. Que ces personnes qui ont à cœur de construire des ponts de tolérance puisent en toi l'eau vive du dialogue et de l'ouverture d'esprit. »
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