J'ai appris, dans ma vie, mais surtout grâce à ma participation à un comité sur le harcèlement psychologique et la violence en milieu de travail, que si j'ai un différent avec quelqu'un, je dois d'abord lui en faire part directement. Lui faire prendre conscience de son impact sur moi, sa façon, le ton, ses actions, ses paroles. Tant que ce moment est évité, la relation ne change pas. Ça n'est jamais facile. Ce n'est jamais le bon moment. On n'en a jamais le goût. Mais c'est la seule solution. Encore faut-il que l'autre accepte. Les résultats sont inégaux et on ne se fait pas toujours des amis pour la vie. Mais habituellement les choses deviennent beaucoup plus positives.
Ça prend une bonne dose de courage. De la bonne volonté de part et d'autre. Celle de vouloir vraiment que la situation s'améliore. De mon côté, j'y accorde un sens spirituel. C'est là que je prends le courage de faire cet effort. Je demande à être « aidée » et, parfois même, je demande « la conversion » de la personne lorsque tout semble impossible. Étonnamment, ça marche !
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