vendredi 14 avril 2017

Cocotte la miraculée


Chaque soir en revenant de travailler, je me demande si mini-Cocotte sera encore là. Elle grimpe et se fourre le nez partout, tombe en bas des armoires... et des escaliers. Mais elle évite aussi les gros fessiers sur le divan-lit où elle a élu domicile et les pieds des tinami(e)s. Je l'ai enfermée entre deux portes sans m'en apercevoir et failli m'asseoir sur la couverte où elle se nichait ces fois-là.

Mais c'est aussi un miracle que de trouver un bon vétérinaire spécialisé dans les furets. Nous avons  été bien « guidées»... deux fois, tous deux amoureux des animaux. Le premier, Dr Sikorsky m'a déjà dit en souriant :  « Elle est fine ». Et je lui ai répondu : « C'est parce qu'elle sait qu'elle est aimée ». 

Quand l'amour s'inscrit quelque part, quel que soit le métier ou le rôle que nous jouons, on est certain que tout sera bien fait et au mieux pour les êtres qui nous entourent... grands ou petits.

Cocotte est tombée très malade une première fois, puis une deuxième. Réchappée de justesse, comme dirait cousine construction : « 1000 dollars plus tard », « nous » avons compris que bébé était l'un de ces furets qui doivent ingurgiter du Peptobismol toute leur vie... oufff.

Mais je m'étais engagée totalement, cette fois-ci. Et puis, c'est à ce moment de vulnérabilité que nous avons « connecté » bébé et moi. Avant, c'était une petite tête de linotte hyperactive. Maintenant, couchée sur mon épaule, elle met toute sa petite confiance en moi.




 
 

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