samedi 15 avril 2017

Samedi Saint

C'est étrange qu'elle soit partie aujourd'hui. Tout comme le petit chien de mon neveu qui est arrivé aux Îles un certain Jeudi Saint... et qui les a quitté, cinq ans plus tard par une automobile, un Vendredi Saint.

C'est dans le ton de la tristesse de ces jours de Pâques... mais c'est aussi tellement dans cet espoir de renaissance, de lumière, de message d'amour de Jésus Christ.

Un ange de poils

Petite Cocotte est rendue au paradis des cocottes...

Ça s'est passé aujourd'hui, avec mon conjoint qui l'aimait beaucoup lui aussi. Je lui avais dit à notre arrivée : « Nous on vient en paquet de deux ».

Sa vétérinaire a eu aussi de la peine. Dr Corbeil, une soie.

J'ai demandé à son ange de venir la chercher... c'est si vaste le ciel... et elle est si petite.

Et j'ai remercié Dieu de ce beau prêt, de ce cadeau de la vie qui a su se faire aimer de tout mon monde. Que du bonheur.

Petite Meg avait bien raison. J'avais bien besoin d'un furet !

Cocotte la miraculée 2

Mais le vrai miracle c'est ce jour-là où...
 
Mes petits voisins viennent souvent la voir et passent du temps sur ma galerie arrière. Elle est étroite et les barreaux de métal distancés. J'ai toujours un peu peur d'un incident...
 
Le petit, assez turbulent et un peu déficient, m'a déjà dit en tenant Cocotte : « Je sais pas ce que ça ferait si « quelqu'un » la laissait tomber en bas... (du 2 étage) » . Je lui réponds d'un ton dissuasif : «Ben je crois que LE quelqu'un le saurait très vite parce qu'il prendrait le même chemin...».
 
Mais... un jour que je nettoie la cage, je pars laver le plateau d'un pas énergique dehors. La porte est ouverte. Cocotte me surprend en sautant sur mes pieds et tout d'un coup, incrédule, elle part comme un ballon de fooooooot et je la vois surpasser le but... heu la ridelle... et... tooooooooooooomber... ses petites pattes battant l'air comme au ralenti. Nooooooon!! On se regarde dans les yeux et je la vois descendre, frapper le muret de ciment avec sa hanche et rebondir du côté terre. En une fraction de seconde je descend par l'escalier de secours... l'imaginant dans tout un état !...
 
Je la trouve... sous le feuillage... debout sur ses pattes ! Tremblante, mais vivante ! Pas une goutte de sang, rien de briser. Bien mieux, je crois bien que sa hanche qui claudiquait un peu suite probable d'une chute de garde-robe, est replacée !!
 
Comme quoi... y a du bon dans tout !
 

vendredi 14 avril 2017

Cocotte la miraculée


Chaque soir en revenant de travailler, je me demande si mini-Cocotte sera encore là. Elle grimpe et se fourre le nez partout, tombe en bas des armoires... et des escaliers. Mais elle évite aussi les gros fessiers sur le divan-lit où elle a élu domicile et les pieds des tinami(e)s. Je l'ai enfermée entre deux portes sans m'en apercevoir et failli m'asseoir sur la couverte où elle se nichait ces fois-là.

Mais c'est aussi un miracle que de trouver un bon vétérinaire spécialisé dans les furets. Nous avons  été bien « guidées»... deux fois, tous deux amoureux des animaux. Le premier, Dr Sikorsky m'a déjà dit en souriant :  « Elle est fine ». Et je lui ai répondu : « C'est parce qu'elle sait qu'elle est aimée ». 

Quand l'amour s'inscrit quelque part, quel que soit le métier ou le rôle que nous jouons, on est certain que tout sera bien fait et au mieux pour les êtres qui nous entourent... grands ou petits.

Cocotte est tombée très malade une première fois, puis une deuxième. Réchappée de justesse, comme dirait cousine construction : « 1000 dollars plus tard », « nous » avons compris que bébé était l'un de ces furets qui doivent ingurgiter du Peptobismol toute leur vie... oufff.

Mais je m'étais engagée totalement, cette fois-ci. Et puis, c'est à ce moment de vulnérabilité que nous avons « connecté » bébé et moi. Avant, c'était une petite tête de linotte hyperactive. Maintenant, couchée sur mon épaule, elle met toute sa petite confiance en moi.




 
 

jeudi 13 avril 2017

Parlant du Petit Prince

Le jour de mon départ des Îles, le 3 janvier à 6 heures du matin, je m'apprête à aller porter mes valises dans l'auto. Il fait nuit noire dans ce matin calme d'hiver. Soudain, sur le perron, je fige. Je sens une présence à ma droite, près des rosiers. Je me tourne doucement et me retrouve face à face avec... un beau renard roux, visiblement aussi surpris que moi. On se regarde dans les yeux pendant de longues minutes. Il n'a pas peur et s'avance même jusqu'à la première marche de la galerie. Je luis dis : «Attends une minute » en levant un doigt. Il recule un peu. Je rentre lui chercher un poisson congelé que je lui lance en sortant. Il me regarde encore, puis se penche pour ramasser le poisson, et s'en va en trottinant...

Tu es responsable de ta rose...

Avait dit le Petit Prince de Saint-Exupéry.

 La famille est un champs de roses...
Nos petits animaux font partie de la famille. Ils sont aussi des roses.

D'ailleurs, la Loi visant l’amélioration de la situation juridique des animaux, récemment adoptée au Québec, fait en sorte que désormais, les animaux sont considérés légalement comme des êtres doués de sensibilité ayant des impératifs biologiques (et non plus des « biens meubles »), pour éviter les abus et les mauvais traitements.

Mais ça, les « papas et mamans d'adoption » le savent depuis longtemps, depuis toujours peut-être. Les enfants un peu moins.

Ce que mon « vendeur » ne m'avait pas dit, volontairement ou non, c'est que les furets (surtout les femelles parce qu'on leur enlève tout), peuvent développer des tumeurs après quelques années. Ce sont de petites bêtes à la fois fortes et fragiles.

C'est quand on a un animal malade qu'on comprend toute la responsabilité à laquelle on s'est engagée...

mercredi 12 avril 2017

Petite âme

Il se cache sous le tas de poils une petite âme.

Au-delà de l'instinct de survie et des fonctions vitales, lorsqu'ils sont traités avec amour, ces animaux nous démontrent aussi de l'amour.

Cocotte rayonne de me voir arriver, sortant du divan-lit chaque fois que j'ouvre la porte. J'ai droit de temps à autre à une petite lichette sur le bras.

Elle communique aussi,  pour que je la prenne dans mes bras par exemple, se présentant à mes pieds ou encore elle effleure mes pieds de son museau pour me dire : « Attention ! Je suis lààà ! ».

Elle m'a bien «  élevé »... elle avance à son plat et me regarde, jette un regard vers le frigo et se liche les babines... et je lui donne sa gâterie préférée... de l'huile de sardine.

En fait, j'interprète tout haut ses petites expressions, en me disant que je dois bien faire « rire les anges... ».




 

L'art du confort

Je ne sais pas si tous les furets sont pareils, mais Cocotte a toujours su développer l'art du confort. On la regarde dormir et on voudrait se coller tout contre elle dans l'un de ses nombreux petits home : son « condo » (sa grande cage), son pétit home (la moyenne de transport), et ses nombreux petits petits homes (petite cage de transport, et tous les coussins douillets, les tentes, les doudous et autres)...


 
Elle a même élue domicile dans mes tiroirs...
 
 
 
 
 



mardi 11 avril 2017

Mon petit bébé de poils


Mais là où j'ai senti à coup sûr qu'elle avait une petite âme d'enfant, c'est cette journée où elle a monté elle-même son toutou préféré Don Nounourso, dans son petit nid douillet au haut du 4e tiroir de la commode...  Saurez-vous trouver Cocotte ?






et dans son hamac de son condo.

 
 
Ha oui ! C'est affectif cet affaire-là !

lundi 10 avril 2017

Pas si bête... la p'tite bête



Juste à la tenir dans mes bras, à la regarder aller... j'ai évalué qu'un furet, et peut-être tout autres animal de compagnie, devait avoir l'âge mental d'un enfant de deux ans.




Bébé, Cocotte s'est inventé des jeux. Elle s'agrippe à un rideau de bambou et se fait tourner. Elle se couche sur un bol en plastique et se laisse glisser... puis recommence. Elle joue à Dora l'exploratrice dans le bac à recyclage ou dans ma zone de perdition, ma chambre de débarras. Elle adore particulièrement investiguer les mystérieuses armoires à chaudrons qu'elle ouvre aisément dans mon ancien appartement, pour se retrouver parfois... dans mon tiroir à ustensiles ! Mais son activité de prédilection s'avère le dessous du frigidaire et du poêle (la cuisinière). Rien de moins. Elle s'obstine avec la serviette de bain, enlève le gros scotch tape, s'aplatie comme une galette et se glisse dessous. Je l'ai retrouvée plus d'une fois debout dans un poêlon en ouvrant le tiroir !

De toute mon existence je n'ai rencontré un petit être aussi étonnant, drôle et fouineux que Cocotte La Fouine, son vrai nom d'ailleurs on ne peut plus mérité!



dimanche 9 avril 2017

Cocotte : mode d'emploi


Le problème c'est que les petites bêtes ne viennent pas avec un mode d'emploi... surtout les furets !

J'ai donc appris à connaître Cocotte au fur et à mesure, en l'observant et en m'adaptant à son « petit caractère »... tête de mule pour la « guerre des coins où faire ses besoins sur du journal » (et dire qu'il y en a qui le font dans une litière !...), gourmande de l'huile de sardine (la petite langue qui se lèche les babines... ) pour la retenir dans la cuisine quand je me sauve, dépressive quand je la laisse dans sa cage pour la journée. Au début à tout le moins, car très vite j'ai compris qu'on a pas affaire ici à un rongeur qui trottine dans une roue. Hooo que non!

D'ailleurs elle n'est pas un rongeur, sa parenté étant celle de la belette (et Dieu sait que c'est vrai!) et non pas du rat. Elle investit très tôt tout l'appartement, puis la maison. Un domaine pour elle.

Comme elle escalade sa grande cage... oups son condo avec l'énergie du désespoir, elle se fait des muscles qu'elle met à profit en escaladant le lit (elle a déjà croqué les orteils d'une gardienne en pleine nuit!), les armoires, les tiroirs de la commode, les boîtes du placard.

On ne laisse pas non plus un furet dehors en croyant qu'il reviendra. Il fouine  toujours devant... ou de côté. Il n'a pas non plus de longues traînées d'ancêtres qui auraient pu lui apprendre à suivre les pipis de chiens... Une sortie est donc laborieuse, tantôt dans les bras, tantôt à terre.

Bref, beaucoup de patience est requise.

Ce n'est pas un jouet... c'est une personnalité !

samedi 8 avril 2017

Maman d'adoption d'une pétite furette

Je n'ai pas toujours eu la main avec les animaux. J'ai nourri notre chienne Berger allemand, vraie petite mère de la famille. La can du Dr Ballard de l'époque écoeurait tout le monde, moi y compris. Mais fallait bien la nourrir.

À dix ans, j'ai adopté deux hamsters que j'ai négligés, je l'avoue. Personne n'avait le temps de me superviser. J'ai souvent une pensée pour les pauvres lapins, poussins, minous et chiots adoptés à la va-vite à Pâques ou à Noël par des enfants qui voient en eux une version réelle du toutou (ou « peluche ») ou un jouet. C'est d'ailleurs l'une des raisons pourquoi je n'ai pas filmé et nourri You Tube de vidéos tordants de Cocotte Lafouine... J'aurais moussé à coup sûr cette industrie à l'éthique douteuse,voire cruelle pour les petites bêtes. On leur enlève tout (système reproducteur et glandes (comme la mouffette), et je les soupçonne d'avoir sevré trop vite et nourri bébé au biberon. Cocotte devenait folle devant le caoutchouc des gants à vaisselle et avalait les élastiques comme du spaguetti ! Mais pire, on m'avait dit à l'animalerie que si elle n'était pas adoptée (je ne supporte pas le terme « vendue » pour un animal - comme au marché aux esclaves...) on la retournerait à l'envoyeur ! Lire ici : couic !!

Surtout, les crocs de Cocotte sur mes orteils sous la couverture (faisait-elle le lien entre les pieds et le reste ??)  m'ont toujours convaincue que cet animal adorable n'est pas fait pour les enfants. Bien qu'ils en voudraient tous un lorsqu'ils la voient...



mercredi 5 avril 2017

Un furet ???

Lorsqu'elle m'a dit, de sa petite voix flutée : « Carmen, j'sais ce que t'as besoin ! »... J'ai dit « Haaa oui ? Et quoi don ? »...  « Un furet ! »... « !!! »

Je vivais seule depuis longtemps. J'amenais Petite Meg camper, une fois par année, depuis ses six ans. Elle m'avait alors démontré tout son sérieux et son amour du camping. Cette fois-là, pour une rare fois, elle est venue à la relâche scolaire de mars.

On a visité les papillons au Jardin Botanique, où elle a réussi, je ne sais comment, à poser un papillon Bleu. (J'ai tout essayé mais en vain). Et puis on a fait notre rituelle visite au Pet shop du coin. Et voilà qu'en y allant, elle me largue ça tout de go !

Bien plus ! C'est qu'elle insistait ! « Oui,, ouiiii. Pour te tenir compagniiie. »

Petite Meg n'a jamais fait de caprices jusque là. Je ne comprenais pas.

On s'est rendues au « marché aux esclaves », comme je l'appelle, et oui... il y avait bien une petite boule de poils roulée en boule dans une cage. Bon, ok, c'est charmant. Elle mordille un peu. Bon.

 Mais l'idée même m'étant ridicule, moi qui suis d'ailleurs allergique aux chats et aux chiens, et toujours partie par « monts et par vaux » (drôle d'expression tout de même...), et à l'âge que j'ai... enfin bref, on est retournées chez nous.

Mais... comme j'ai bien intégré la leçon spirituelle « y a-t-il un message pour vous ? »... La question m'est restée jusqu'au lendemain. Pourquoi insiste-t-elle autant ? Et si Dieu s'y prenait de cette façon pour quelques raisons inconnues ? Non, non... trop ridicule.

Au matin, Petite Meg insistant encore pour qu'on y retourne, je lui dis comme ça : « Ça nous prendrait un signe ! ». Rendue là, la furette était dans une cage de transport. « Heu... et pourquoi don ? Elle est « vendue ? »  « Non, on nettoie sa cage ». « Haa » (et je me suis surprise à penser « ouf »). Et aussi incroyable que ça puisse paraître... Je suis repartie avec elle.

mardi 4 avril 2017

Un signe SVP pour petite Cocotte

Ma petite Cocotte est en sursis en fait depuis trois ans. Depuis qu'un autre médicament lui a sauvé la vie... à prendre deux fois par jour (en plus de son Peptobismol depuis qu'elle est bébé)...

Cette année, j'ai dû augmenter la dose. Et puis j'ai demandé à Dieu que lorsque le temps viendrait de me faire signe... surtout, qu'elle parte en douceur et que personne n'en soit responsable. Une petite bestiole est si vite écrapoutie !...

Mais parfois, on ne veut tout simplement pas les voir...

Lorsque je suis allée à l'Abbaye Saint-Benoît-du-Lac, on s'est arrêtées dans un petit resto-boutique. On y vendait de l'artisanat et... de petits cercueil comme pour animaux. Pas plus étrange comme concept ! En fait, juste la grandeur de ma Cocotte... Brrrrr.

J'ai rêvé aussi que je donnais la respiration artificielle à un petit animal. Je soufflais, sa petite bedaine se gonflait. Elle revenait. Et puis je souffle encore, sa petite  bedaine se gonfle mais sa petite âme est  « partie ».

Et pas plus tard que hier soir, je tombe sur un article de Julie Roy du magazine Coup de pouce d'avril.

Dire adieu à son chien  :
« Le deuil d'un animal, ce n'est pas nécessairement plus simple - ou plus aisé! - que la perte d'une personne qui nous est chère. « Une des différences avec le deuil humain, c'est que, la plupart du temps, c'est nous qui choisissons le moment du décès de l'animal. Et cet aspect peut devenir très, très culpabilisant », selon Annique Lavergne, psychologue qui a étudié le deuil animalier. Dans un moment ésotérique, qui a bouleversé la journaliste rationnelle que je suis, j'ai même demandé à mon chien de même faire signe quand il en aurait assez. Et il l'a fait, en s'appuyant tout contre moi, tranquillement. Ce matin-là, je l'ai porté jusque dans la voiture. Dans mes bras, le corps chaud d'un ami, fatigué de sa vie.
Vous dire la peine que j'ai eue pendant ces semaines où j'ai remisé, un à un, ses bols, ses jouets, son coussin serait futile. Soit vous avez connu ce type de deuil et vous comprenez, soit vous n'êtes pas un ami des animaux et vous trouvez ridicule de pleurer la mort d'un chien « qui était presque vieux, de toute façon ». 

Ça fait déjà un bout de temps que je lui demande un signe moi aussi à la Cocotte.

Ce matin, alors qu'elle se débat fort pour ne pas prendre son médicament... j'arrête. Voilà, c'est décidé, plus d'acharnement thérapeutique. Plus de respirateur artificiel.

Je l'accompagnerai jusqu'au bout.














Y a-t-il un message pour vous ?...

Chance infime

Le cours de l'histoire a été changé plusieurs fois par cette notion de « chance infime ». N'a-t-il pas fallu, en effet, que les « planètes s'alignent », que toutes les conditions soient réunies pour que le jour du Débarquement de Normandie, lors de la deuxième guerre mondiale, les alliés réussissent à déjouer leurs ennemis ?

Être à l'affut de la chance infime, de cette inspiration au bon moment, du bon mot, du bon ton, des bonnes personnes autour de la table, de la ténacité des porteurs de flambeau, des porteurs de valeurs que nous  ne pouvons laisser simplement s'éteindre...

Cette chance infime nourrie par la foi... comme cette fois où j'ai bien failli manquer l'avion pour retourner dans mes Îles à Noël... (article Miracle de Noël) deux minutes de plus sur l'autoroute,  à chercher un stationnement, à attendre la navette ou après un voyageur au comptoir... et c'en était fait. Mais j'ai tellement prié dans l'auto... tellement.

Chance infime du miracle, petit ou grand.

Cette chance infime de pouvoir changer les choses... il faut la saisir.

samedi 1 avril 2017

Mandela : clin d'oeil synchro


J’ai terminé hier soir le livre de Nelson Mandela : Le long chemin vers la liberté. Je lis ce matin cette phrase dans un tout autre contexte, celui de la femme du pilote automobile Michael Schumacher, mais qui résume le livre de Mandela :

 « En janvier dernier, à l’occasion des 48 ans du champion, Corinna Schumacher, l’épouse de Michael, avait souhaité dans un communiqué de presse faire passer un message d’espoir à travers l’association qu’elle a créé après l’accident de son mari, «Keep Fighting». «J’ai toujours su qu’il ne fallait jamais, jamais abandonner et qu’il fallait toujours se battre, même quand il n’y a qu’une chance infime».