Je n’aurais jamais cru qu’un drogué de la coke puisse m’influencer pour suivre une
retraite. Le seul mot « retraite » rebondissait sur mon gros nerf de l'ennui.
Pourtant, en relisant L’armoire aux menteries, je me suis rappelée le cheminement de cet homme perdu, ruiné par la drogue et la boisson. Il avait un ami prêtre qui l’aimait envers et contre tout. Il l'a encouragé à faire des retraites spirituelles.. On est très loin du profil habituel… Il a même sniffé plusieurs lignes en pleine retraite ! Au fil du temps, et après deux cures en maisons fermées, il a réussi enfin à revenir à la vie.
Pourtant, en relisant L’armoire aux menteries, je me suis rappelée le cheminement de cet homme perdu, ruiné par la drogue et la boisson. Il avait un ami prêtre qui l’aimait envers et contre tout. Il l'a encouragé à faire des retraites spirituelles.. On est très loin du profil habituel… Il a même sniffé plusieurs lignes en pleine retraite ! Au fil du temps, et après deux cures en maisons fermées, il a réussi enfin à revenir à la vie.
Le livre est dédicacé par Jean Lapointe, un artiste
québécois qui a mis sur pied la Maison Jean Lapointe pour les alcooliques, après
avoir lui-même arrêté de consommer. Je ne doute donc pas de la véracité du
récit.
Bref, je termine ce livre dans cette période où j’ai besoin
de lumière. Mes difficultés récentes notamment au travail, sont une invitation
à m’éloigner pendant une fin de semaine. À prendre un recul dans un contexte
spirituel. Et mon amie de la KT, avec
qui j’ai enseigné la catéchèse, nous en a trouvé un… en Estrie.
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