Je ne suis pas bien placée pour juger les différentes religions. Je ne les connais pas au fond. Comme beaucoup de monde, j'ai été intriguée par certaines d'entre elles, par certains aspects. Pour moi, ce sont comme des morceaux d'un même casse-tête qui nous présentent la vie spirituelle sous différents angles.
Un jour que je discute avec des amis musulmans, d'anciens voisins, nous partons sur une envolée originale en imaginant une pratique religieuse « idéale » (bien entendu, dès lors qu'on accepte qu'il y en ait...). Sans être exhaustifs, et en nous complétant l'un, l'autre en riant, nous en arrivons à la conclusion qu'il nous faudrait :
- l'assiduité des juifs et des musulmans
- la vision spirituelle autochtone en lien avec la nature
- la conscience boudhiste
- les valeurs de Jésus Christ
Comme si, des « clés » intérieures avaient été distribuées ici et là sur la planète. En me relisant, je me rends compte que j'ai fait quelques « emprunts » qui ont enrichi ma pratique religieuse. Père John m'avait toutefois mis en garde contre un éparpillement, une religion « à la carte », en plus de me perdre dans les pratiques « nouvel âge », l'ésotérisme et j'en passe.
C'est pourquoi je me concentre maintenant sur ma religion, celle qui m'apparait la plus lumineuse, et le chemin de vérité. Mais je conserve un très grand estime pour toutes les personnes qui vivent dans le respect, l'amour, la tolérance, la sagesse et autres magnifiques qualités humaines.
Père Romero a dit, justement hier matin : « Aujourd'hui je vous transmets les paroles de Jésus Christ... mais en sortant d'ici, je dois les mettre en pratique. Car Il a dit : l'important ce n'est pas ce qui est dans l'homme... mais ce qui sort de l'homme ».
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