Cette expression du Seigneur des anneaux, me fait sourire chaque fois que je l'emploi.
Parfois, une partie de la faute revient à des personnes bien intentionnées... mais qui m'ont plongée dans le pétrin. Comme cette fois où, étudiante au cégep, je visite une résidente dans une université anglophone. Elle me passe la clé d'une autre étudiante absente pour dîner à la cafétéria. En bonne étudiante « cassée », j'accepte. Comme mon anglais était approximatif et que j'avais une tête méconnue, la caissière s'est vite rendue compte de ce subterfuge : « That's not your key ». Silence peeesant. Oooh gêne et damnation...
Deux ans plus tard, Cousine m'invite à sa résidence du cégep. Au rappel pénible de ma mésaventure, elle me dit qu'elle viendra payer le lendemain. La cafétéria est différente. Un comptoir pour se servir, de rangées de tables séparées par une petite allée. Alors que je me sers du dessert, j'entends... boum, badaboum.... sans me retourner je pense : « C'est cousiiine, ça c'est sûûûr! ». Je me retourne lentement... Elle est étendue par terre, déconfite. L'une des étudiantes a laissé traîner sa béquille dans l'allée. Elle ne l'aide pas, ne s'excuse pas. Fais comme si de rien n'était... Pauvre Cousiine qui ne sait si elle va rire ou pleurer. Je m'approche d'elle mi-sourire... et lui glisse : « L'art de paasser inaperçue !... ». :-)
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