Les seules cartes que j'ai gardées, après ma rencontre avec Père John, sont « Les Messages de l'Univers ».
Comme « par hasard », à la suite de mon billet d'hier, je pige celle-ci :
« Si j'ai de la difficulté avec une personne, c'est que je n'ai pas réussi à communiquer par des voies ordinaires. Je demande alors à l'Être Suprême d'envoyer sa lumière dans cette situation. J'arrête de parler de ce problème. Je sais que l'énergie d'Amour Infini est maintenant en action et que tout s'arrange avec facilité, rapidité et succès. »
Ou on peut simplement demander dans son cœur : « Aide-nous à arranger cette situation. Donne-nous les bons mots, le bon ton. »
Lors de mon voyage sur la Côte-Nord, au monastère de Charlevoix, Père John me demande : «Où vas-tu ?».... Dans une intuition, je lui réponds: «Vers moi».
mercredi 31 août 2016
mardi 30 août 2016
Imaginez...
Quand on était enfant et qu'on s'obstinait sans fin pour je ne sais plus quelle niaiserie, on en arrivait presque toujours à dire : « C'est toi qui a commencé ! » « Non ! C'est toi ! ». Mes parents travaillant très fort, n'avait jamais le temps, l'intérêt et le doigté pour agir comme médiateurs dans nos chicanes.
Tout ce que je me souviens, c'est : « La plus vieille des deux va arrêter »... et je comprenais déjà que ceci voulait dire, dans le langage de ma mère, que celle qui avait le plus de maturité arrêterait d'elle-même... quel que soit le résultat, bien souvent à son dépend. Restait un goût amer, un sentiment d'injustice... mais bon.
On ne connaît pas les détails de cette paix colombienne. Il a certainement fallu des personnes de bonne volonté, de part et d'autres... piétiner son orgueil de ne pas « avoir le dernier mot »... laisser tomber les vengeances et les légitimes colères... panser les profondes blessures de torture et des morts de personnes aimées... être au-dessus de tout ça.
Comme je l'ai déjà mentionné pour d'autres peuples, ça sort de mon entendement à une aussi grande échelle. Parfois, Dieu me semble si long à agir... ou peut-être que nous sommes fermés à Le laisser agir... Pourtant les résultats sont si beaux.
Tout ce que je me souviens, c'est : « La plus vieille des deux va arrêter »... et je comprenais déjà que ceci voulait dire, dans le langage de ma mère, que celle qui avait le plus de maturité arrêterait d'elle-même... quel que soit le résultat, bien souvent à son dépend. Restait un goût amer, un sentiment d'injustice... mais bon.
On ne connaît pas les détails de cette paix colombienne. Il a certainement fallu des personnes de bonne volonté, de part et d'autres... piétiner son orgueil de ne pas « avoir le dernier mot »... laisser tomber les vengeances et les légitimes colères... panser les profondes blessures de torture et des morts de personnes aimées... être au-dessus de tout ça.
Comme je l'ai déjà mentionné pour d'autres peuples, ça sort de mon entendement à une aussi grande échelle. Parfois, Dieu me semble si long à agir... ou peut-être que nous sommes fermés à Le laisser agir... Pourtant les résultats sont si beaux.
lundi 29 août 2016
VIVA LA PAZ !
« Il n’y a pas de gagnant ni de perdant lorsqu’on fait la paix. La Colombie a gagné, la mort a perdu. » (Rodrigo Granda, négociateur des FARC)
On ne connait pas sa religion ou ses croyances. On sait seulement qu’il a réussi, avec d’autres personnes, à serrer la main de celle de son ennemi.
«... dans ce conflit vieux de plus de cinquante ans qui a laissé 220 000 morts et plus de cinq millions de déplacés, a conclure un accord de paix entre le gouvernement colombien et les Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC) » (Journal Métro)
À défaut d’être convaincu de construire notre ciel dans l’au-delà, nous pouvons bâtir notre ciel sur terre…
Voilà une belle lueur d’espoir pour tous les conflits de la planète.
Heureux les artisans de paix !
dimanche 28 août 2016
Dure liberté
J'ai bien souvent succombé à diverses tentations, par peur, par besoin, par gourmandise ou pour quelque raison que ce soit. En fait, ça m'arrive encore... de moins en moins (sauf la gourmandise... slurp). Car j'ai bien compris, au fil du temps, le lien de cause à effet et la notion de « libre arbitre »; ces choix que nous faisons à chaque instant... entre l'ombre et la lumière.
Je ne divulguerai pas ici la litanie de mes « péchés ». Si l'expression est démodée, le fait est que les résultats sont les mêmes aujourd'hui : des blessures infligées à soi-même et autres. Des peines, petites et grandes.
D'ailleurs, j'aime bien cette petite histoire remplie de sagesse :
« Un homme rencontre un sage et lui dit qu'il veut se convertir. Que peut-il faire pour se faire pardonner ? Le sage lui répond que chaque fois qu'il fait de la peine à quelqu'un, le fautif doit planter un clou dans un mur de bois. Après un temps, l'homme revient et lui demande : Maintenant que dois-je faire ? Le sage répond : Enlève chaque clou chaque fois que tu demanderas pardon. Ce qui fut fait. Et maintenant ? Le sage dit : Il reste des trous à la place des clous. Seul l'amour peut remplir les trous. »
Je ne divulguerai pas ici la litanie de mes « péchés ». Si l'expression est démodée, le fait est que les résultats sont les mêmes aujourd'hui : des blessures infligées à soi-même et autres. Des peines, petites et grandes.
D'ailleurs, j'aime bien cette petite histoire remplie de sagesse :
« Un homme rencontre un sage et lui dit qu'il veut se convertir. Que peut-il faire pour se faire pardonner ? Le sage lui répond que chaque fois qu'il fait de la peine à quelqu'un, le fautif doit planter un clou dans un mur de bois. Après un temps, l'homme revient et lui demande : Maintenant que dois-je faire ? Le sage répond : Enlève chaque clou chaque fois que tu demanderas pardon. Ce qui fut fait. Et maintenant ? Le sage dit : Il reste des trous à la place des clous. Seul l'amour peut remplir les trous. »
dimanche 21 août 2016
Vilain Hobbit !
Cette expression du Seigneur des anneaux, me fait sourire chaque fois que je l'emploi.
Parfois, une partie de la faute revient à des personnes bien intentionnées... mais qui m'ont plongée dans le pétrin. Comme cette fois où, étudiante au cégep, je visite une résidente dans une université anglophone. Elle me passe la clé d'une autre étudiante absente pour dîner à la cafétéria. En bonne étudiante « cassée », j'accepte. Comme mon anglais était approximatif et que j'avais une tête méconnue, la caissière s'est vite rendue compte de ce subterfuge : « That's not your key ». Silence peeesant. Oooh gêne et damnation...
Deux ans plus tard, Cousine m'invite à sa résidence du cégep. Au rappel pénible de ma mésaventure, elle me dit qu'elle viendra payer le lendemain. La cafétéria est différente. Un comptoir pour se servir, de rangées de tables séparées par une petite allée. Alors que je me sers du dessert, j'entends... boum, badaboum.... sans me retourner je pense : « C'est cousiiine, ça c'est sûûûr! ». Je me retourne lentement... Elle est étendue par terre, déconfite. L'une des étudiantes a laissé traîner sa béquille dans l'allée. Elle ne l'aide pas, ne s'excuse pas. Fais comme si de rien n'était... Pauvre Cousiine qui ne sait si elle va rire ou pleurer. Je m'approche d'elle mi-sourire... et lui glisse : « L'art de paasser inaperçue !... ». :-)
Parfois, une partie de la faute revient à des personnes bien intentionnées... mais qui m'ont plongée dans le pétrin. Comme cette fois où, étudiante au cégep, je visite une résidente dans une université anglophone. Elle me passe la clé d'une autre étudiante absente pour dîner à la cafétéria. En bonne étudiante « cassée », j'accepte. Comme mon anglais était approximatif et que j'avais une tête méconnue, la caissière s'est vite rendue compte de ce subterfuge : « That's not your key ». Silence peeesant. Oooh gêne et damnation...
Deux ans plus tard, Cousine m'invite à sa résidence du cégep. Au rappel pénible de ma mésaventure, elle me dit qu'elle viendra payer le lendemain. La cafétéria est différente. Un comptoir pour se servir, de rangées de tables séparées par une petite allée. Alors que je me sers du dessert, j'entends... boum, badaboum.... sans me retourner je pense : « C'est cousiiine, ça c'est sûûûr! ». Je me retourne lentement... Elle est étendue par terre, déconfite. L'une des étudiantes a laissé traîner sa béquille dans l'allée. Elle ne l'aide pas, ne s'excuse pas. Fais comme si de rien n'était... Pauvre Cousiine qui ne sait si elle va rire ou pleurer. Je m'approche d'elle mi-sourire... et lui glisse : « L'art de paasser inaperçue !... ». :-)
samedi 13 août 2016
Twilight zone
Dans le même ordre d'idée, Tentation s'est pointée un jour qu'une grosse erreur s'est glissée dans mon titre de transport en commun. En fait, je n'en croyais pas mes yeux : il était valide pour deux ans ! Une valeur d'environ 3000 $ !
Je suis allée dans une « boîte à monsieur-madame » d'une station de métro. J'ai demandé de vérifier. C'était bien vrai. Comme si j'avais acheté ce looong titre. Et j'ai vu Tentation dans les yeux de cette préposée... ou je ne sais quoi. Je me suis esquivée.
Hummm... Petit monstre s'est émoustillé : « C'est un cadeau de la Vie, du Bon Dieu, de n'importe quoi. Ça ne fait de mal à personne. Ce n'est pas comme une erreur d'une caissière qui doit rembourser le soir venu... etc. etc. »
J'ai même pensé l'offrir à un organisme communautaire ou à un itinérant... mais... qu'en aurait-il fait ? Le revendre ? Oups... y a tout de même mon nom sur cette carte. Et je me dis que, techniquement, je n'ai pas acheté ce titre. Je dois m'acquitter de mon éco pour que ça fonctionne tous ces services de transport en commun. Y en ont pas de reste... et j'ai revu le regard de Père John se poser sur mon âme... et...
Je suis retournée dans une autre « boîte à monsieur-madame » dans une autre station de métro. Revalidation. Ils m'ont simplement dit qu'un jour la carte serait fermée... Je n'ai pas pris de chance. Trop bizarre. Un autre test de la vie ?... J'ai demandé des ciseaux et l'ai coupée en morceaux.
Je suis allée dans une « boîte à monsieur-madame » d'une station de métro. J'ai demandé de vérifier. C'était bien vrai. Comme si j'avais acheté ce looong titre. Et j'ai vu Tentation dans les yeux de cette préposée... ou je ne sais quoi. Je me suis esquivée.
Hummm... Petit monstre s'est émoustillé : « C'est un cadeau de la Vie, du Bon Dieu, de n'importe quoi. Ça ne fait de mal à personne. Ce n'est pas comme une erreur d'une caissière qui doit rembourser le soir venu... etc. etc. »
J'ai même pensé l'offrir à un organisme communautaire ou à un itinérant... mais... qu'en aurait-il fait ? Le revendre ? Oups... y a tout de même mon nom sur cette carte. Et je me dis que, techniquement, je n'ai pas acheté ce titre. Je dois m'acquitter de mon éco pour que ça fonctionne tous ces services de transport en commun. Y en ont pas de reste... et j'ai revu le regard de Père John se poser sur mon âme... et...
Je suis retournée dans une autre « boîte à monsieur-madame » dans une autre station de métro. Revalidation. Ils m'ont simplement dit qu'un jour la carte serait fermée... Je n'ai pas pris de chance. Trop bizarre. Un autre test de la vie ?... J'ai demandé des ciseaux et l'ai coupée en morceaux.
jeudi 11 août 2016
Qui trouve... garde ?
Comme beaucoup de gens, j'ai moi aussi rendu des biens trouvés à leur propriétaire, dont des cellulaires, un trousseau de clés, un sac à main et autres.
Mais j'ai gardé l'argent trouvé par terre. Des 5 $ sur une piste de danse. Un 10 $ dans la rue, évidemment une tonne de « sous noirs » (0,01$) et autres...
Et puis, un jour, je marche sur le trottoir pour me rendre à mon train au retour du boulot. Mes yeux glissent sur un billet de loto non signé. Il est encore valide. Petit monstre me dit : « Personne à l'horizon. Qui trouve garde. De toute façon, si ce n'est toi, ce sera le prochain passant ».
Bon. Normalement je l'empoche et l'histoire se termine.
Mais... j'ai eu un doute. Je me suis dit : « Et si son propriétaire revenait sur ses pas pour chercher le billet perdu ? Et ce, même si les chances étaient minces, d'autant que le vent pouvait l'emporter... Et si c'était un test de la vie ? Prendre ce qui ne m'appartient pas techniquement... ? »... Hésitations quelques minutes...
J'ai reposé le billet par terre, au même endroit.
Depuis ce jour, je ne prends même plus les 10 sous trouvés... je les laisse au suivant.
Mais j'ai gardé l'argent trouvé par terre. Des 5 $ sur une piste de danse. Un 10 $ dans la rue, évidemment une tonne de « sous noirs » (0,01$) et autres...
Et puis, un jour, je marche sur le trottoir pour me rendre à mon train au retour du boulot. Mes yeux glissent sur un billet de loto non signé. Il est encore valide. Petit monstre me dit : « Personne à l'horizon. Qui trouve garde. De toute façon, si ce n'est toi, ce sera le prochain passant ».
Bon. Normalement je l'empoche et l'histoire se termine.
Mais... j'ai eu un doute. Je me suis dit : « Et si son propriétaire revenait sur ses pas pour chercher le billet perdu ? Et ce, même si les chances étaient minces, d'autant que le vent pouvait l'emporter... Et si c'était un test de la vie ? Prendre ce qui ne m'appartient pas techniquement... ? »... Hésitations quelques minutes...
J'ai reposé le billet par terre, au même endroit.
Depuis ce jour, je ne prends même plus les 10 sous trouvés... je les laisse au suivant.
dimanche 7 août 2016
Haaa tentation !
Des exemples.
Alors que Tantounette travaillait aux soins à domicile pour les personnes âgées en perte d'autonomie, l'une de ses clientes a dû quitter sa maison pour l'hôpital. Ma tante a trouvé dans la maison, un sac rempli de milliers de dollars... Il devait être très tentant de s'en prendre un peu. Rien n'aurait paru puisque la dame était devenue « perdue » avec le temps. Tantounette n'est pas riche... mais honnête. Elle a confié le sac à certaines personnes... Il a disparu par la suite. Celles-ci ont échoué leur test spirituel... mais Tantounette fut un exemple de solidité intérieur.
C'est arrivé aussi à un chauffeur de taxi quelque part en Inde ou en Chine, qui a rapporté à son client le précieux bagage... et à des milliers de personnes anonymes... telles ces personnes qui m'ont rapporté ma sacoche, mon manteau ou autres objets perdus, parfois même avant que je ne réalise mon oubli.
Alors que Tantounette travaillait aux soins à domicile pour les personnes âgées en perte d'autonomie, l'une de ses clientes a dû quitter sa maison pour l'hôpital. Ma tante a trouvé dans la maison, un sac rempli de milliers de dollars... Il devait être très tentant de s'en prendre un peu. Rien n'aurait paru puisque la dame était devenue « perdue » avec le temps. Tantounette n'est pas riche... mais honnête. Elle a confié le sac à certaines personnes... Il a disparu par la suite. Celles-ci ont échoué leur test spirituel... mais Tantounette fut un exemple de solidité intérieur.
C'est arrivé aussi à un chauffeur de taxi quelque part en Inde ou en Chine, qui a rapporté à son client le précieux bagage... et à des milliers de personnes anonymes... telles ces personnes qui m'ont rapporté ma sacoche, mon manteau ou autres objets perdus, parfois même avant que je ne réalise mon oubli.
samedi 6 août 2016
Petits monstres
On entend cette expression habituellement lorsqu'un enfant est turbulent, ou encore à l'Halloween. Mais je fais référence ici aux petits monstres intérieurs qui nous habitent. C'est plus doux que « démons intérieurs » mais tout aussi vrai.
Je l'imagine comme celui de la publicité québécoise qui annonce un produit aidant à arrêter de fumer. On y voit un tout petit monstre, presque mignon et laid à la fois. Je pourrais l'appeler « Tentation ».
D'ailleurs, un passage du « Notre Père » en fait mention : « Ne nous soumets pas à la tentation... ».
Celle-ci se glisse à travers les failles de notre sensibilité et surtout de nos besoins physiques et émotifs... et à notre ego. Elle se heurte cependant à nos valeurs, à notre bagage moral, à notre éthique... tout dépendant de la solidité de notre « filet de protection ». Et ce, à tout moment. Des petits aux grands choix.
Je l'imagine comme celui de la publicité québécoise qui annonce un produit aidant à arrêter de fumer. On y voit un tout petit monstre, presque mignon et laid à la fois. Je pourrais l'appeler « Tentation ».
D'ailleurs, un passage du « Notre Père » en fait mention : « Ne nous soumets pas à la tentation... ».
Celle-ci se glisse à travers les failles de notre sensibilité et surtout de nos besoins physiques et émotifs... et à notre ego. Elle se heurte cependant à nos valeurs, à notre bagage moral, à notre éthique... tout dépendant de la solidité de notre « filet de protection ». Et ce, à tout moment. Des petits aux grands choix.
mardi 2 août 2016
Le bon combat : les monstres
Ceux et celles qui ont regardé la série du Seigneur des anneaux, en fait les trois premiers films, comprendront cette réflexion... et les autres aussi peut-être.
Dans cette série, la « Terre du milieu » était menacée par la violence, le pouvoir, les ténèbres, les monstres. La nature était engloutie dans un système ne servant qu'à produire l'énergie nécessaire pour construire toujours plus de monstres... laids et brutaux... au service du Mal assoiffé de pouvoir qui semait la destruction sur son passage.
Ça vous dit quelque chose ?... Pas besoin d'aller jusqu'aux guerres passées. Juste sur certaines pages Internet et la télé. Les monstres existent... ils visent les enfants, les personnes âgées, les jeunes sensibles aux manipulateurs, les personnes vulnérables au jeu, au sexe, aux achats compulsifs, aux drogues, à la boisson, à la fascination pour les armes et autres. Ils ciblent les besoins d'attention tellement criant que certains de ceux qui en rêvent réalisent des coups d'éclats destructeurs. Les monstres volent l'argent, le temps, l'estime de soi, le corps et l'âme. Ils créent un monde de peur. Un monde d'illusion. Ils détruisent pour leurs profits... et leur plaisir. Ils nous fabriquent un enfer sur terre.
Ils ne sont pas sous les lits... mais ils s'invitent dès qu'on leur ouvre la porte... dès qu'on les choisit parfois en toute innocence, par inconscience. Dépend de ce qu'on regarde, de qui on écoute, de ce qu'on consomme... de la place qu'on leur laisse. Parfois, juste parce que ça l'air plus cool que d'être une bonne personne.
Et c'est ce que nous devons combattre... à l'extérieur et à l'intérieur de nous.
Dans cette série, la « Terre du milieu » était menacée par la violence, le pouvoir, les ténèbres, les monstres. La nature était engloutie dans un système ne servant qu'à produire l'énergie nécessaire pour construire toujours plus de monstres... laids et brutaux... au service du Mal assoiffé de pouvoir qui semait la destruction sur son passage.
Ça vous dit quelque chose ?... Pas besoin d'aller jusqu'aux guerres passées. Juste sur certaines pages Internet et la télé. Les monstres existent... ils visent les enfants, les personnes âgées, les jeunes sensibles aux manipulateurs, les personnes vulnérables au jeu, au sexe, aux achats compulsifs, aux drogues, à la boisson, à la fascination pour les armes et autres. Ils ciblent les besoins d'attention tellement criant que certains de ceux qui en rêvent réalisent des coups d'éclats destructeurs. Les monstres volent l'argent, le temps, l'estime de soi, le corps et l'âme. Ils créent un monde de peur. Un monde d'illusion. Ils détruisent pour leurs profits... et leur plaisir. Ils nous fabriquent un enfer sur terre.
Ils ne sont pas sous les lits... mais ils s'invitent dès qu'on leur ouvre la porte... dès qu'on les choisit parfois en toute innocence, par inconscience. Dépend de ce qu'on regarde, de qui on écoute, de ce qu'on consomme... de la place qu'on leur laisse. Parfois, juste parce que ça l'air plus cool que d'être une bonne personne.
Et c'est ce que nous devons combattre... à l'extérieur et à l'intérieur de nous.
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