Vous savez, à la fin d'un journal, il y a parfois le jeu des 5 erreurs. Vous devez identifier les cinq différences entre deux photos quasi identiques...
C'est un peu comme ça que je me sens à lire Luc, Jean, Marc puis Matthieu. Les quatre « journalistes » du temps. Qui n'ont pas tous été témoins directs, mais qui ont reçu cette histoire, ce « fait divers » d'un procès transmis comme une onde qui s'étire dans l'eau quand on y jette une pierre.
Je ne suis pas théologienne. Dommage. D'autres vous en parleraient bien mieux que moi.
Saint-Luc, comme le nom de l'hôpital où git présentement ma tantounette chérie. Ses derniers jours... singulière synchronicité dans ce carême qui mène à la Passion. Ce dimanche des rameaux qui revêt pour moi et ma famille une autre profondeur...
Ma prieuse qui s'en va doucement... celle avec qui je partageais cette intimité spirituelle. On en a eu de belles discussions... et on s'est encore dit, juste la semaine dernière : « comment y font, les gens qui ne croient pas... ? en sous-entendu... lorsqu'ils regardent la mort en face ?
Je lis ce fonds d'histoire des quatre évangélistes pareil d'un texte à l'autre. Et c'est justement ça que l'on constate à peu de choses près. Ça ne s'invente pas une histoire comme ça. Encore moins quand c'est relayé par différentes personnes. Encore moins quand on sait que c'est à partir de Jésus Christ que commence le calendrier planétaire. Même si certains peuples conservent leur ancien calendrier, nous sommes tous en 2018... après Jésus-Christ !
Étonnant tout de même pour quelqu'un qui n'avait rien matériellement. Aucun pouvoir politique. « Mon royaume n'est pas de ce monde »... Une bien grande sagesse, oui. La capacité de faire des miracles... des milliers de personnes en ont été témoin. Un charisme indéniable. Mais encore ?
Je lis ces textes... en prenant mon temps, un bout de texte à la fois. Ça fait deux mois.
La Parole est vivante...
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