samedi 17 novembre 2018

Il faut dire...

Qu'aux difficultés professionnelles se sont ajoutés l'accompagnement de Tantounette jusqu'à la fin... la fatigue, une tendinite/capsulite... les préoccupations familiales et mon projet de mémoire. Tout pour user les nerfs, la patience, le corps.

Aussi, comme un refrain lancinant, chaque matin, ou presque, pendant six ans, je passais devant une longue bâtisse dont le mur arrière était rempli de ce graffiti : « Work is long when you're wearing a thong ». Me rappelant ce besoin de liberté de parole. 


Chaque fois, cette phrase semblait me parler directement. Comme si les mots s'accumulaient dans ma gorge. C'est aussi un peu pour cela que j'ai rédigé « ce journal spirituel ».

Et puis, deux jours avant de terminer cet emploi occupé depuis tant d'années, le graffité est disparu. Nettoyé ou repeint.


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