Il est vrai qu'entrer en relation est un risque. On a peur d'être rejeté pour moins que ça... mais surtout pour parler de notre intimité spirituelle...
En écoutant l'anecdote de Père Le Rouzès, je repense à cette fois où j'avais en poche un vieux
papier tout froissé sur lequel était écrite la prière de la sérénité :
«
Mon Dieu,
donnez-moi la sérénité d'accepter ce que je ne peux changer,
le courage de changer ce que je peux,
et la sagesse d'en connaître la
différence. »
J'en avais placé ici et là pendant
un temps avec la philosophie qu'elle serait aussi utile pour tout le
monde que pour arrêter de boire chez les AA.
C'était
en fin de journée. J'étais assise sur le banc complètement à l'arrière
de l'autobus, à côté d'un jeune homme. De ces jeunes qui n'ont
probablement jamais usé un banc d'église. Il avait l'air fatigué, sombre
et triste. Las d'une vie difficile ou en tout cas d'un moment.
J'ai
bien pensé jeter le papier tout « frippé »... Mais... Ou bien le donner
à mon voisin ?... Heu... J'avais peur d'être ridicule et qu'il me
regarde « reject ». Pas très cool de recevoir une prière... Bof... Gênée, je lui glisse tout de même : « Le veux-tu ? » en lui présentant. Un risque.
Il
me regarde, étonné, prend le papier et lit le mot... et soudain... son visage s'illumine.
Avait-il quelques problèmes à résoudre ? J'ai été inspirée de le lui donner et il s'est montré ouvert à recevoir ce minuscule cadeau. ... Et la lumière de Dieu
s'est rendue jusqu'à lui... lui rappelant sa présence et qu'il peut l'interpeller à tout moment.
Le jeune homme me remercie tout en s'avançant pour sortir par la porte arrière... le cœur plus léger... et d'un grand sourire reconnaissant.
Lors de mon voyage sur la Côte-Nord, au monastère de Charlevoix, Père John me demande : «Où vas-tu ?».... Dans une intuition, je lui réponds: «Vers moi».
samedi 30 mai 2020
jeudi 28 mai 2020
Le Jour du Seigneur : un prêtre et des jeunes
Père Le Rouzès nous raconte ce précieux moment de rencontre avec des jeunes cools dans un parc :
« Je me rappelle d’un beau samedi après-midi de 2009 où j’ai eu à rendre compte de mon espérance. J’étais avec ma communauté et nous étions partis pour le parc Baldwin, non loin de Coaticook. À notre arrivée, moins d'une dizaine de jeunes du coin, entre16 et 20 ans, jouaient au Volley-ball de plage. Dès notre arrivée, ils nous invitent à jouer avec eux. Ce qu'il faut savoir, c'est que ces jeunes, casquette à l’envers, bière à la main, torse nu ou en camisole, étaient quelque peu intimidant par leur langage n’empruntant pas toujours à la littérature française. Malgré tout, une amitié s'engage. Rémi, un frère de ma communauté prend le temps d'apprendre le nom de chacun. Puis les conversations s'engagent sur l'avenir, les désirs de chacun; une des filles est au secondaire et ne sait pas trop ce qu'elle veut faire plus tard, l'autre aimerait bien faire son cours pour véhiculer des pelles mécaniques, l'autre aimerait partir une compagnie. C'est ainsi qu’au coeur d’une conversation assaisonnée d’une légère odeur de bière et d'un langage empruntant à la sacristie, l'Esprit Saint prenait tranquillement les devants. Les jeunes se confiaient à nous simplement parce que l'on s'intéresse à eux. Puis l'un d'entre eux, Jean-Thomas, m’interroge directement :
« Pourquoi as-tu décidé d’être prêtre? »
---« C'est parce que j'ai rencontré l'amour de Dieu ».
« Pourquoi as-tu décidé d’être prêtre? »
---« C'est parce que j'ai rencontré l'amour de Dieu ».
On se met à parler de Dieu, la plupart affirmant leur incroyance. Alors je leur pose la question : « Oui, mais c'est quoi pour vous le sens de la vie ?
« Unanimement, ils fanfaronnent : « C'est foirer, boire de la bière, avoir du fun »
--- « Et après la vie, qu'est-ce qu'il y a ? »
--- « Y a rien! C'est fini"... »
J’y vois alors une actualisation glaciale de ce que Paul disait : « Si les morts ne ressuscitent pas, mangeons et buvons, car demain nous mourrons. » (1Cor15,32). Pourtant, le ton se met doucement à changer lorsque l'un d'eux avoue avoir été protégé miraculeusement après avoir percuté un garde-fou à 140 km/h, sans ceinture de sécurité. Il s’en est sorti indemne, ce qui était à son sens impossible. Un autre avoue du même souffle lui aussi avoir été protégé mystérieusement après s'être endormi au volant et que sa voiture ait plongé dans une rivière. Aucune séquelle.
Dès lors, sur cette révélation inespérée, je me mets à leur parler alors de la vie éternelle, de l'amour de Dieu, de l'importance de faire de bons choix pour réussir sa vie, de la beauté et de la fragilité de l'amour humain. Mon cœur brûlait au fond de moi alors que je pouvais leur parler de Jésus et que leur yeux passaient à leur insu de l'indifférence à la fascination. Je nous sentais habité par une atmosphère tout autre. Je sentais que j'aimais ces jeunes plus que moi-même. Derrière leur armure d'adolescents blasés, des cœurs d'enfants assoiffés.
Vers la fin de l'après-midi, je sentais qu'on ne pouvait les laisser partir sans leur donner quelque chose qui puisse leur rappeler cette rencontre. Avec Rémi, nous partons mendier auprès des autres frères et sœurs de la communauté des médailles, des chapelets, des images saintes, bref, tout ce qui pourrait être susceptible d'être béni. C'était en réalité une gageure : qu'est-ce que ces jeunes allaient faire avec des objets bénis... ? Les regarder avec dédains, au mieux, avec indifférence ?
En réalité, la surprise allait être totale! Nous revenons auprès de ces jeunes avec les objets bénis et je leur explique : « Pour moi, notre rencontre a été tellement belle que je voulais vous laisser un souvenir de notre rencontre. J'ai demandé à tous ces jeunes que vous voyez s'ils voulaient bien se départir d'un objet béni pour vous le donner. Alors, voyez tout ce qu'ils vous donnent! ». J'ouvre mes mains remplies de chapelets et de médailles. Dès lors, l'inouïe se manifeste; les jeunes se précipitent comme des assoiffés : « Moi, je veux un chapelet! Moi, une médaille! » « À tel point qu'on manqua de chapelets et de médailles. Il fallu repartir pour demander l'aumône : « Avez-vous d'autres chapelets et de médailles ? » Et j'ai vu l'une ou l'autre faire les sacrifices silencieux d'une médaille ou d'un chapelet très affectionné ou d'un chapelet pour que ces jeunes puissent repartir avec quelque chose.
Et le plus surprenant, c'est que les deux garçons les plus leaders du groupe m'ont interpellé : « Hey! T'es prêtre! Tu peux bénir! Peux-tu me bénir? Il me semble que ça ira mieux dans ma vie! » Mon cœur a alors fait trois tours, ne m'attendant jamais à cette demande. « Mais bien sûr!! », lui répondis-je les yeux pleins d'eau, en mettant la main sur son front pour y invoquer l'Esprit Saint. « Moi aussi!», s'écrit l'autre en levant sa casquette. Comment a-t-on pu en arriver à une telle profondeur...? Si ce n'est parce que l'amour de Dieu avait envahi leur cœur et que leur soif de Lui s'était brusquement éveillée.
À la fin de la journée, lorsque nous sommes partis du parc Baldwin, nous avions le coeur gonflé d'action de grâce. Je les revois encore, ces jeunes, torse nu ou camisole décolleté plongeant, canette de bière dans une main et chapelet dans l'autre, nous offrant de larges sourires en guise d'aurevoir et des yeux qui avaient mystérieusement repris vie... Je l'avoue aujourd'hui, je n'aurai jamais vécu cela si je n'avais pas, ce jour-là, obéi à la parole de Jésus et si je n'avais pas affronté la peur initiale que j'éprouvais de ces jeunes. Rendre compte de mon espérance n'est jamais chose facile. C'est pourquoi l'Esprit Saint est là. Mais le premier évangélisé ce jour-là, ce fut moi.
« Unanimement, ils fanfaronnent : « C'est foirer, boire de la bière, avoir du fun »
--- « Et après la vie, qu'est-ce qu'il y a ? »
--- « Y a rien! C'est fini"... »
J’y vois alors une actualisation glaciale de ce que Paul disait : « Si les morts ne ressuscitent pas, mangeons et buvons, car demain nous mourrons. » (1Cor15,32). Pourtant, le ton se met doucement à changer lorsque l'un d'eux avoue avoir été protégé miraculeusement après avoir percuté un garde-fou à 140 km/h, sans ceinture de sécurité. Il s’en est sorti indemne, ce qui était à son sens impossible. Un autre avoue du même souffle lui aussi avoir été protégé mystérieusement après s'être endormi au volant et que sa voiture ait plongé dans une rivière. Aucune séquelle.
Dès lors, sur cette révélation inespérée, je me mets à leur parler alors de la vie éternelle, de l'amour de Dieu, de l'importance de faire de bons choix pour réussir sa vie, de la beauté et de la fragilité de l'amour humain. Mon cœur brûlait au fond de moi alors que je pouvais leur parler de Jésus et que leur yeux passaient à leur insu de l'indifférence à la fascination. Je nous sentais habité par une atmosphère tout autre. Je sentais que j'aimais ces jeunes plus que moi-même. Derrière leur armure d'adolescents blasés, des cœurs d'enfants assoiffés.
Vers la fin de l'après-midi, je sentais qu'on ne pouvait les laisser partir sans leur donner quelque chose qui puisse leur rappeler cette rencontre. Avec Rémi, nous partons mendier auprès des autres frères et sœurs de la communauté des médailles, des chapelets, des images saintes, bref, tout ce qui pourrait être susceptible d'être béni. C'était en réalité une gageure : qu'est-ce que ces jeunes allaient faire avec des objets bénis... ? Les regarder avec dédains, au mieux, avec indifférence ?
En réalité, la surprise allait être totale! Nous revenons auprès de ces jeunes avec les objets bénis et je leur explique : « Pour moi, notre rencontre a été tellement belle que je voulais vous laisser un souvenir de notre rencontre. J'ai demandé à tous ces jeunes que vous voyez s'ils voulaient bien se départir d'un objet béni pour vous le donner. Alors, voyez tout ce qu'ils vous donnent! ». J'ouvre mes mains remplies de chapelets et de médailles. Dès lors, l'inouïe se manifeste; les jeunes se précipitent comme des assoiffés : « Moi, je veux un chapelet! Moi, une médaille! » « À tel point qu'on manqua de chapelets et de médailles. Il fallu repartir pour demander l'aumône : « Avez-vous d'autres chapelets et de médailles ? » Et j'ai vu l'une ou l'autre faire les sacrifices silencieux d'une médaille ou d'un chapelet très affectionné ou d'un chapelet pour que ces jeunes puissent repartir avec quelque chose.
Et le plus surprenant, c'est que les deux garçons les plus leaders du groupe m'ont interpellé : « Hey! T'es prêtre! Tu peux bénir! Peux-tu me bénir? Il me semble que ça ira mieux dans ma vie! » Mon cœur a alors fait trois tours, ne m'attendant jamais à cette demande. « Mais bien sûr!! », lui répondis-je les yeux pleins d'eau, en mettant la main sur son front pour y invoquer l'Esprit Saint. « Moi aussi!», s'écrit l'autre en levant sa casquette. Comment a-t-on pu en arriver à une telle profondeur...? Si ce n'est parce que l'amour de Dieu avait envahi leur cœur et que leur soif de Lui s'était brusquement éveillée.
À la fin de la journée, lorsque nous sommes partis du parc Baldwin, nous avions le coeur gonflé d'action de grâce. Je les revois encore, ces jeunes, torse nu ou camisole décolleté plongeant, canette de bière dans une main et chapelet dans l'autre, nous offrant de larges sourires en guise d'aurevoir et des yeux qui avaient mystérieusement repris vie... Je l'avoue aujourd'hui, je n'aurai jamais vécu cela si je n'avais pas, ce jour-là, obéi à la parole de Jésus et si je n'avais pas affronté la peur initiale que j'éprouvais de ces jeunes. Rendre compte de mon espérance n'est jamais chose facile. C'est pourquoi l'Esprit Saint est là. Mais le premier évangélisé ce jour-là, ce fut moi.
mardi 26 mai 2020
Le Jour du Seigneur : le risque de l'autre
Certaines homélies me touchent plus que d'autres. C'est le cas aujourd'hui.
C'est bizarre mais je ne croyais pas qu'un prêtre pouvait être gêné de prêcher. Faut dire qu'aujourd'hui ils sont drôlement remis en question!
Je vois ce jeune prêtre (tiens...on en recrute encore ?!) qui nous raconte son anecdote en nous précisant qu'il lui arrive « d'avoir peur d'évangéliser, d'être rejeté, étiqueté, mis de côté et jugé ».
Comme il disait : « J'ai bien des raisons de vouloir préférer me taire et garder silence car exposer ma foi qui est ma raison de vivre, tout intérieure, est toujours pour moi un risque. L'autre est toujours un risque. »
C'est bizarre mais je ne croyais pas qu'un prêtre pouvait être gêné de prêcher. Faut dire qu'aujourd'hui ils sont drôlement remis en question!
Je vois ce jeune prêtre (tiens...on en recrute encore ?!) qui nous raconte son anecdote en nous précisant qu'il lui arrive « d'avoir peur d'évangéliser, d'être rejeté, étiqueté, mis de côté et jugé ».
Comme il disait : « J'ai bien des raisons de vouloir préférer me taire et garder silence car exposer ma foi qui est ma raison de vivre, tout intérieure, est toujours pour moi un risque. L'autre est toujours un risque. »
dimanche 24 mai 2020
Confinement oblige... Le Jour du Seigneur
Les églises sont fermées. Certains diront « Youppi! » Quelle belle « déblâme » pour ne pas s'y rendre! Comme les écoliers qui doivent rester chez eux... Mon vieux père, lui, en a été bouleversé. Moi c'est mitigé. C'est que son « rendez-vous » dominical avec Dieu le stresse comme s'il devait prendre l'avion. Et le stress lui monte aux oreilles... bref, mauvaise nuit, levé difficile, incertitude de s'y rendre jusqu'à la dernière minute, etc.
Mon papa étant pas mal sourd pour la messe madelinienne à la radio, on a redécouvert la messe à la télé : Le Jour du Seigneur. Bon... comment dire... c'est autre chose. Moment d'adaptation. Et, sincèrement, j'avais toujours trouvé l'idée très ennuyante...
Quand on a commencé, y avait au moins quelques avantages techniques... pas besoin de me « mettre sur mon 31 », comme on dit, même si mon papa se fait beau tout de même. Il peut se lever à la dernière minute alors qu'on partait une demi-heure d'avance pour l'église...
Celle de la télé est belle mais le vide est étrange. La petite voix qui répond au prêtre aussi. Y a pas de monde autre que la madame aux lectures; la choriste, très bonne, une voix d'ange; le musicien à l'orgue et, aujourd'hui, oh joie, une violoniste.
Ceci dit, peut-être parce que je suis plus « près » du prêtre et que je peux monter le son, j'entends mieux. Je m'arrête plus sur les mots, dont l'homélie. Et franchement, c'est tellement beau parfois...
Mon papa étant pas mal sourd pour la messe madelinienne à la radio, on a redécouvert la messe à la télé : Le Jour du Seigneur. Bon... comment dire... c'est autre chose. Moment d'adaptation. Et, sincèrement, j'avais toujours trouvé l'idée très ennuyante...
Quand on a commencé, y avait au moins quelques avantages techniques... pas besoin de me « mettre sur mon 31 », comme on dit, même si mon papa se fait beau tout de même. Il peut se lever à la dernière minute alors qu'on partait une demi-heure d'avance pour l'église...
Celle de la télé est belle mais le vide est étrange. La petite voix qui répond au prêtre aussi. Y a pas de monde autre que la madame aux lectures; la choriste, très bonne, une voix d'ange; le musicien à l'orgue et, aujourd'hui, oh joie, une violoniste.
Ceci dit, peut-être parce que je suis plus « près » du prêtre et que je peux monter le son, j'entends mieux. Je m'arrête plus sur les mots, dont l'homélie. Et franchement, c'est tellement beau parfois...
dimanche 10 mai 2020
Jesus Freak
C'était le dimanche des vocations. Une fois l'an. En gros, on prie pour qu'il y ait de la relève chez les prêtres... pas évident par les temps qui courent... On nous interpelle aussi tous comme missionnaires, chacun dans notre coin.
Mon amie de la KT, avec qui j'ai fait quelques pétits moments de retraite, me dit : « Ben moi, tu sais, aller chercher tout le monde pour la messe ou pour être « sauvés » j'ai pas signé de contrat pour ça!
J'ai un sourire.
Ancienne pro de l'informatique, elle a connu une conversion, une vraie. Elle se passionne maintenant pour la théologie et ses fondements. Ses discussions sont intéressantes. Ses questionnements aussi. Mais ce qui est fondamental chez elle, c'est de nous parler de l'amour de Jésus.
En fait, c'est déjà beaucoup.
Moi j'aimerais bien que tout le monde le connaisse à tout le moins. Pourquoi ?
D'abord parce que Jésus Christ est né dans le « peuple élu », mais a fait en sorte que son message d'amour de Dieu et d'espoir en une vie éternelle soit adressé à tous les gens de la Terre. C'est pour ça qu'il a envoyé ses apôtres répandre son message. Cette notion d'universalité me plait beaucoup, ajoutant à cela, qu'il s'adresse autant au plus grand qu'au plus petit d'entre nous... dans tous les sens des mots... du plus poqué au plus sage...
Mon amie de la KT, avec qui j'ai fait quelques pétits moments de retraite, me dit : « Ben moi, tu sais, aller chercher tout le monde pour la messe ou pour être « sauvés » j'ai pas signé de contrat pour ça!
J'ai un sourire.
Ancienne pro de l'informatique, elle a connu une conversion, une vraie. Elle se passionne maintenant pour la théologie et ses fondements. Ses discussions sont intéressantes. Ses questionnements aussi. Mais ce qui est fondamental chez elle, c'est de nous parler de l'amour de Jésus.
En fait, c'est déjà beaucoup.
Moi j'aimerais bien que tout le monde le connaisse à tout le moins. Pourquoi ?
D'abord parce que Jésus Christ est né dans le « peuple élu », mais a fait en sorte que son message d'amour de Dieu et d'espoir en une vie éternelle soit adressé à tous les gens de la Terre. C'est pour ça qu'il a envoyé ses apôtres répandre son message. Cette notion d'universalité me plait beaucoup, ajoutant à cela, qu'il s'adresse autant au plus grand qu'au plus petit d'entre nous... dans tous les sens des mots... du plus poqué au plus sage...
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