Dans son livre Le Pèlerin de Compostelle, Coehlo mentionne « le bon combat »... Mais comme il le dit si bien, Saint Paul en avait déjà parlé... bien avant lui.
Des guerres il y en a eu, et il y en a encore de toutes sortes, pour toutes sortes de raisons : expansion du territoire, pouvoir, passions, haines et même en prenant Dieu pour prétexte. Et c'est ce qui est le plus paradoxal.
Dieu est Amour. Tous les témoignages actuels de la vie après la mort convergent vers ce constat : ces personnes qui ont « vu la lumière » ont toutes connues un immense bonheur, un sentiment de plénitude, de gratitude, un amour inconditionnel. Il est donc clair que notre chemin spirituel doit nous mener à cet amour comme le serpent qui mue en grandissant et laisse tomber ses vieilles peaux.
Il y a ceux qui croient mener le bon combat au nom de quelque idéologie. Il y a ceux qui souhaitent aller au combat... quel qu'il soit, pour « essayer ça » pour de vrai. Il y a ceux qui ne veulent pas se battre.
Il y a moi, guerrière sans arme. Ou plutôt, avec des mots.
Petite soldate de l'amour, souvent maladroite, longtemps menée par ses passions... J'apprends à choisir mes batailles.
Mais derrière les mots ou les armes, il y a un chef. « Qui se ressemble, s'assemble » comme dit l'adage. Celui que l'on choisit... intérieurement. Et c'est là que tout commence... à l'intérieur de soi.
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