Le Pape a déclaré cette semaine : « La guerre est commencée ». Rien de moins. Un prêtre ayant été égorgé en France, en pleine messe.
Il a dit aussi : « Ce ne sont pas les religions qui tuent. Ce sont les autres... ».
Le bon combat est celui contre ce qui nous détourne de notre humanité. Jamais n'aurons-nous été plus libre, en ce troisième millénaire, en Occident à tout le moins, de choisir ce que l'on veut faire, avec qui, comment. Jamais l'offre du mieux au pire n'aura été aussi abondante, aussi facilement accessible. Et c'est dans ces choix très intimes que la lutte commence. Entre nos valeurs elles-mêmes parfois. Entre nos démons intérieurs, nos désirs, et ce à quoi il nous faut aspirer.
Le bon combat est l'expression de ce que nous sommes, à chaque instant. C'est le battement d'aile du papillon. La pierre et ses rebonds dans l'eau. Le lien de cause à effets que nous créons par nos « pensées, nos actions... et par nos omissions »... à ne pas semer d'amour.
Lors de mon voyage sur la Côte-Nord, au monastère de Charlevoix, Père John me demande : «Où vas-tu ?».... Dans une intuition, je lui réponds: «Vers moi».
dimanche 31 juillet 2016
lundi 25 juillet 2016
Le bon combat : le chef
J'ai eu une « drôle » de discussion un jour au sujet de la religion avec l'un de mes neveux. Je lui dis : « Tu crois sûrement que Jésus était un faible parce qu'il parlait d'amour... ? À moi, pourtant, il m'est toujours apparu d'une force et d'un courage incroyables. »
Il s'est tenu debout, au propre comme au figuré. Devant l'establishment de son époque, sans autres armes que ses mots, la Vérité, son immense foi, ses miracles, son amour inconditionnel et sa sagesse. Et ça, pour moi, c'est un leader. Un vrai chef. Fort.
Il a mon allégeance.
« Je suis la voie, la vérité et la vie. Je suis le chemin qui mène au Père. Un berger qui conduit ses brebis, qui les guide ». La Lumière qui protège du Mal, de l'ombre des ténèbres.
Je crois qu'il y a plusieurs chemins qui mènent au Père. Car sinon, que feront le juste, le doux, l'aimant qui ne le connaissent pas ?
Mais avec ce chemin-là... on ne se trompe pas.
Il s'est tenu debout, au propre comme au figuré. Devant l'establishment de son époque, sans autres armes que ses mots, la Vérité, son immense foi, ses miracles, son amour inconditionnel et sa sagesse. Et ça, pour moi, c'est un leader. Un vrai chef. Fort.
Il a mon allégeance.
« Je suis la voie, la vérité et la vie. Je suis le chemin qui mène au Père. Un berger qui conduit ses brebis, qui les guide ». La Lumière qui protège du Mal, de l'ombre des ténèbres.
Je crois qu'il y a plusieurs chemins qui mènent au Père. Car sinon, que feront le juste, le doux, l'aimant qui ne le connaissent pas ?
Mais avec ce chemin-là... on ne se trompe pas.
dimanche 24 juillet 2016
Le bon combat
Dans son livre Le Pèlerin de Compostelle, Coehlo mentionne « le bon combat »... Mais comme il le dit si bien, Saint Paul en avait déjà parlé... bien avant lui.
Des guerres il y en a eu, et il y en a encore de toutes sortes, pour toutes sortes de raisons : expansion du territoire, pouvoir, passions, haines et même en prenant Dieu pour prétexte. Et c'est ce qui est le plus paradoxal.
Dieu est Amour. Tous les témoignages actuels de la vie après la mort convergent vers ce constat : ces personnes qui ont « vu la lumière » ont toutes connues un immense bonheur, un sentiment de plénitude, de gratitude, un amour inconditionnel. Il est donc clair que notre chemin spirituel doit nous mener à cet amour comme le serpent qui mue en grandissant et laisse tomber ses vieilles peaux.
Il y a ceux qui croient mener le bon combat au nom de quelque idéologie. Il y a ceux qui souhaitent aller au combat... quel qu'il soit, pour « essayer ça » pour de vrai. Il y a ceux qui ne veulent pas se battre.
Il y a moi, guerrière sans arme. Ou plutôt, avec des mots.
Petite soldate de l'amour, souvent maladroite, longtemps menée par ses passions... J'apprends à choisir mes batailles.
Mais derrière les mots ou les armes, il y a un chef. « Qui se ressemble, s'assemble » comme dit l'adage. Celui que l'on choisit... intérieurement. Et c'est là que tout commence... à l'intérieur de soi.
Des guerres il y en a eu, et il y en a encore de toutes sortes, pour toutes sortes de raisons : expansion du territoire, pouvoir, passions, haines et même en prenant Dieu pour prétexte. Et c'est ce qui est le plus paradoxal.
Dieu est Amour. Tous les témoignages actuels de la vie après la mort convergent vers ce constat : ces personnes qui ont « vu la lumière » ont toutes connues un immense bonheur, un sentiment de plénitude, de gratitude, un amour inconditionnel. Il est donc clair que notre chemin spirituel doit nous mener à cet amour comme le serpent qui mue en grandissant et laisse tomber ses vieilles peaux.
Il y a ceux qui croient mener le bon combat au nom de quelque idéologie. Il y a ceux qui souhaitent aller au combat... quel qu'il soit, pour « essayer ça » pour de vrai. Il y a ceux qui ne veulent pas se battre.
Il y a moi, guerrière sans arme. Ou plutôt, avec des mots.
Petite soldate de l'amour, souvent maladroite, longtemps menée par ses passions... J'apprends à choisir mes batailles.
Mais derrière les mots ou les armes, il y a un chef. « Qui se ressemble, s'assemble » comme dit l'adage. Celui que l'on choisit... intérieurement. Et c'est là que tout commence... à l'intérieur de soi.
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